Nourriture Avant Course

Guillemine a écrit: Mais je mets plus sur les pieds, et sa marche vraiment bien

tu mets pourquoi exactement sur les pieds?? pour la corne qui casse???

Oui et pour hydrater les pieds mais ses plus en été quoi...

Lily: les problèmes cardio-vasculaires dont tu parles sont pour les humains, tout simplement parce que la durée de vie et la sédentarisation durent 80 ans.
Chez le cheval, la durée pour installer cette éventuelle pathologie (pas encore constatée chez le cheval!!!, et la durée d'action des O3 et 6, (AGE) ne sont que de quelques années.
Pas assez de temps pour éventuellement apporter des pathologies obstructives, et recul trop court pour espérer des effets si puissants.

veronik a écrit:Lily: les problèmes cardio-vasculaires dont tu parles sont pour les humains, tout simplement parce que la durée de vie et la sédentarisation durent 80 ans.
Chez le cheval, la durée pour installer cette éventuelle pathologie (pas encore constatée chez le cheval!!!, et la durée d'action des O3 et 6, (AGE) ne sont que de quelques années.
Pas assez de temps pour éventuellement apporter des pathologies obstructives, et recul trop court pour espérer des effets si puissants.

si tu veux parler humain on peut parler humain: il y a des gens qui ont des maladie cardio vasculaire beaucoup plus tot que 80ans.
il y a des athletes de 20 ans qui ont des risques cardio-vasculaire très tot.

Bon, Lyly, si tu veux faire un exposé comparatif des pathologies cardiaques homme-cheval, je te laisse.

J'ai exposé les connaissances actuelles.

D'ailleurs les points principaux interessants pour l'Endurance n'ont pas été relevés.(encore)

Je ne développe maintenant que ces points, car tes connaissances me semblent bien définies, et je ne m'aventure pas à te contredire plus! En toute amiíé, n'y vois pas de méchanceté!

bon j'en fini avec l'huile, j'ai trouvé un article qui repondra aux questions de tous dur l'alimentation du cheval d'endurance, et qui a été fait très serieusement la personne qui la fait est je pense la meilleur personne qui peut nous donner des conseil

ALIMENTATION DU CHEVAL D’ENDURANCE
Jean.-Louis LECLERC
Docteur vétérinaire
entraineur de l'equipe de france d'endurance


EPREUVES REGIONALES :
Pour les épreuves allant jusqu’à 60 km, il ne faut surtout rien changer aux habitudes du cheval. La ration établie pour l’entraînement de base doit être maintenu jusqu’au jour de l’épreuve, et les repas seront, autant que possible, distribués aux heures habituelles.

L’apport d’aliments sur un « Vet gate »n’est pas indispensable sinon pour habituer le cheval à manger durant cette phase de repos qu’il retrouvera sur des épreuves plus importantes.

EPREUVES PRENATIONALES ET NATIONALES :
LA PRÉPARATION :
La ration alimentaire doit être adaptée à l’énergie nécessaire pour l’entraînement du cheval durant sa phase de préparation. Elle ne doit pas changer en qualité et quantité durant le mois qui précède l’épreuve.

Une bonne ration est celle qui permet d’assurer un entraînement efficace tout en maintenant le cheval à un poids optimum (poids de forme) stable. C’est durant cette période que les connaissances, l’expérience et le don d’observation du soigneur deviennent fondamentaux dans la préparation du cheval.

S’il advenait qu’une modification de ration s’avère indispensable, elle devra toujours être limitée et faite très progressivement.

Il est intéressant d’introduire dans la ration un petite quantité d’aliment qui sera présenté au cheval le jour de l’épreuve pour l’habituer à son goût, voire pour choisir l’aliment qu’il préfère.

Dans les conditions traditionnelles d’élevage, il semble que les chevaux puissent ne pas consommer une quantité suffisante d’électrolytes même si une pierre de sel est mise à disposition. Un apport journalier de sel non affiné (environ 25g/j) peu compenser ce manque et éviter d’apporter (en catastrophe) des électrolytes le jour de l’épreuve.

Pour des épreuves importantes durant lesquelles le cheval a besoin de beaucoup d’énergie, un apport journalier d’huile végétale dans la ration est intéressant. L’huile doit être apportée un mois au moins avant la date de l’épreuve.

Il faut également prendre en compte le fait que les chevaux sont placés obligatoirement et réglementairement en boxes les jours qui précèdent une épreuve. Pour nombre d’entre eux, habitués aux paturages, la situation peut être surprenante, facteur de stess obligeant, en outre, à modifier l’alimentation en apportant du fourrage et autres compléments non habituels.

Pour réduire l’impact de cette situation, il est intéressant, dans les semaines qui précèdent l’événement, de mettre les chevaux dans un boxe au moins la nuit et de distribuer le fourrage qui sera mis à sa disposition lors de son séjour sur le lieu de la compétition.

L’eau, en particulier dans les boxes, sera donnée dans des seaux qui serviront également lors de la compétition. Ceci permet à la fois de contrôler le niveau d’abreuvement, mais aussi de connaître les habitudes du cheval. De telles informations peuvent êtres précieuses le jour de l’épreuve.

LE VOYAGE :
C’est une phase importante de la compétition car facteur de fatigue mais surtout de stess; Pour limiter celui-ci, il convient de modifier le moins possible la routine de l’animal. Donc, même régime, si possible, aux mêmes horaires.

Abreuver régulièrement le cheval, et, s’il fait très chaud et qu’il transpire beaucoup, il est envisageable de donner des électrolytes.

LA VEILLE DE L’EPREUVE :
Ne rien changer, même régime, même qualité, même quantité, mêmes horaires.

LE MATIN DE L’EPREUVE :
Faut-il nourrir ou ne pas nourrir trois heures avant le départ ? Il apparaît que cette démarche rassurante, pour le cavalier, n’apporte rien au cheval. Au contraire elle le dérange alors qu’il se repose et lui apporte un supplément d’énergie inutile sinon pour mieux s’énerver au moment du départ. Il est de loin préférable de maintenir son appétit en éveille pour qu’il mange bien dés le premier arrêt, alors que la réserve en glycogène, source d’énergie, commence à baisser.

PENDANT L’EPREUVE :
Les réserves énergétiques de glycogène, en particulier, s’amenuisent rapidement à partir de 90km pouvant aboutir à une « fringale ».Un entraînement bien conduit, nous l’avons vu peut retarder cette échéance. L’alimentation, tout au long de la course, doit apporter le plus rapidement possible les molécules énergétiques indispensables au travail musculaire.

Sur chaque aire de repos sera mis à disposition un aliment facilement digestible type céréale floconné qui est digéré en trois heures environ. Pommes, carottes ou autres légumes raffraichissants et appétants peuvent également êtres proposés au cheval. D’autres aliments telles les céréales trempées ou germées sont également utilisées.

L’herbe et le foin même s’ils n’apportent pas d’énergie directement utilisable (durée de la digestion des fourrages de 2 à 3 jours) peuvent assurer un effet « déstressant ».

La quantité d’aliments mis à disposition du cheval doit toujours être raisonnée et limitée. Deux litres d’un aliment à base de céréales floconnées semble une bonne moyenne pour chacun des arrêts officiels.

A LA FIN DE L’EPREUVE :
Le transit intestinal est le plus souvent ralenti et l’intestin mal irrigué suite à l’effort musculaire intense. Il convient de fortement limiter l’apport alimentaire en qualité et quantité jusqu’à une reprise satisfaisante du transit. Un simple apport de fourrage et de carottes ou pommes est suffisant le soir d’une épreuve.

LE LENDEMAIN DE L’EPREUVE :
Si le transit intestinal ne pose pas de problème (ne pas hésiter à voir le vétérinaire présent sur l’épreuve) reprendre progressivement une alimentation normale, à un niveau énergétique correspondant à l’activité du cheval après ce gros effort.

CONCLUSION :
Une alimentation bien comprise et bien conduite avant un effort important est le petit plus qui peut améliorer la performance.

Une alimentation mal comprise et mal conduite peut ainsi être le gros moins qui peut réduire à néant l’efficacité d’un entraînement bien conduit.

L' entraînement du cheval athlète est un tout qui ne peut laisser de coté aucun des facteurs qui contribue à l'amélioration de la performance.


pour plus de details c'est ici: http://www.ceer-fc.com/dossiers/dossiers.php?id_dossier=238

Lyly: interessant, et ca confirme tous les points que j'ai déjà ici développés! Ca me rassure.

JLL préconise 2L d'aliment á chaque halte sur une grande course.
Je suis heureuse de connaitre ce point, car je me posais la question, tout en donnant personnellement
1.2 kg (soit1L6 de mon aliment), je cherchais une confirmation. Grâce à ton texte je l'ai trouvée.

Mais c'est un texte énéraliste qui n'entre pas dans la biologie et la physiologie, bien sûr!

juste un point: mon cheval ne mange pas à chaque halte, mais tous les 10 Km. C'est ma mode perso.
Mais au total, la quantité y est!

veronik a écrit:Lyly: interessant, et ca confirme tous les points que j'ai déjà ici développés! Ca me rassure.

JLL préconise 2L d'aliment á chaque halte sur une grande course.
Je suis heureuse de connaitre ce point, car je me posais la question, tout en donnant personnellement
1.2 kg (soit1L6 de mon aliment), je cherchais une confirmation. Grâce à ton texte je l'ai trouvée.

Mais c'est un texte énéraliste qui n'entre pas dans la biologie et la physiologie, bien sûr!

juste un point: mon cheval ne mange pas à chaque halte, mais tous les 10 Km. C'est ma mode perso.
Mais au total, la quantité y est!

tout les 10km, au assistance??? c'est bien que ton cheval puisse se destresser a une assistance pour prendre le temps de manger car tous les chevaux n'en sont pas capable. je pense que c'est pourquoi la majorité mage a cheque alte.

moi aussi je fais exactement, a quelque detail près, la meme alimentation

Non, c'est tellement bon que la gourmandise l'emporte
Et il boi 8 litres par 30 Km, par temps normal

veronik a écrit:Non, c'est tellement bon que la gourmandise l'emporte
Et il boi 8 litres par 30 Km, par temps normal

c'est bien quand les chevaux sont comme ça.
chez moi j'en ai 2 totalements differents. l'un boit des la 1er assistance un saut complet et l'autre ne boit qu'après la 2 e boucle et encore

manger tous les 10 km, impossible quand tu cours devant...

Par contre, il m'arrive d'arrêter le cheval que je groome afin de la laisser manger (Barcelone, Fossette a mangé durant 25 minutes, elle termine 9è; à ST Galemier, 1er couple étranger en 2006, 15e, derrière le tout gros plateau des pros Français présents ;Plescidy 2007,je l'arrête sur la dernière boucle, le trou était fait: 5e).
A Ghlin, elle a mal mangé la nuit avant et très peu au 2 premiers vets.Impossible donc d'arrêter Fossette, elle était dans les 5 premiers sur la piste...avant qu'on ne la stoppe au 3e,au km 110 : abandon!!)

Maud, on va dire que Ghlin est très difficile comme parcours !! Et même Mékanik avait un peu dur après la 3eme boucle tellement elle avait souffert dans la boue !!! Et puis j'avais remarquer qu'elle stressait plus que d'habitude sur une course et elle ne mangeait presque pas son picotin le veille alors qu'elle adore (tous les chevaux )

c'est bien quand les chevaux sont comme ça.
chez moi j'en ai 2 totalements differents. l'un boit des la 1er assistance un saut complet et l'autre ne boit qu'après la 2 e boucle et encore

C'est pareil moi, Mékanik boit qu'après la 1er boucle et encore a la fin de la 2eme boucle, mais on met quelque chose de naturel pour qu'elle boive, et sa marche très bien...

Guillemine a écrit:
C'est pareil moi, Mékanik boit qu'après la 1er boucle et encore a la fin de la 2eme boucle, mais on met quelque chose de naturel pour qu'elle boive, et sa marche très bien...

moi j'ai essayé les pommes les carottes mais il est tellement speed sur la 1 er boucle qu'il boit meme pas. et après la 1er boucle il se calme donc ça va mieux, il prend le temps de boire aux assistances

Ouisski a écrit:J'ai vue un ga donné un sot plein de pomme & de carotte a sont cheval a quoi cela sert-il ?

Attention à l'orthographe Ouisski =)

Tout dépend à quel moment il lui donnait... après je pense que c'est plus une valeur récompensante que pour lui donner un bon coup d'énergie. En effet, ces fruits et légumes amènent des sucres rapides au cheval, ce qui n'a aucun intérêt et peut se révéler dangereux en fonction du moment où on lui donne.

OK, Mais il lui donné pendant la semaine comme ça alors qu'il ne courait même pas ...
On peut donné une pomme par jours ?

Et toi tu as le droit de manger du chocolat ? mdr

Bien sur, mes poneys avaient un seau de pomme par jour, on a un peu réduit pour éviter les fourbures mais bon ! Ils adorent ça !!
C'est pour leur faire plaisir, et puis durant l'automne et l'hiver, les agriculteurs donnent les pommes touchées aux proprios de chevaux, donc ils peuvent leur en donner..

En soit il n'y a pas vraiment d'intérêt, mis à part leur faire plaisir !

Ok Oui je ses c'est pour leur faire plaisir ces pour sa je lui en donne tout les jours mais je voulé savoir si apart sa sa servait a autre chose ...